Dome

A l' interieur du Dome..d' etrange choses des.... machines...





Dans un coins un peu isolés des machines sans occupants...

Phoenix marmonna :

Ouais la prochaine fois je resterai complètement à la base... D'abord je suis pas arrogant je fais juste remarquer qu'on a pas eu de briefing...

Vous ne seriez pas parti si vite apres votre...déclaration....Hammond nous en aurait dis plus sur cette palnete....

Melian : le général m' a parler et il n' y avait pas grand chose a savoir, si ce n' est qu' on ne voyait pas de signe de vie mais que ca laisserait penser que...

Alpin : Qu' est ce que c' est que ca ?
Il montra la femme dans une machine ( voir plus haut)

Tout le monde pointa sa arme vers elle.
Sib : elle est inanimer....et n' est pas la seule.
Toute une rangée comm elle...

Je vais regarder ça de plus près.

Il alla vers une machine vide. Après l'avoir examiné attentivement, il dit :

Ces machines n'ont rien de particulier, enfin si, elle dégagent de l'énergie... Mais pas de chaleur. Il faudrait en emmener une à la base pour l'étudier un peu mieux... C'est bizarre... c'est exactement comme si ces machines étaient... vivantes...

A peine eut il dit ce dernier mot que des tentacules l'attrapèrent et le mirent à l'intérieurde la machine. Les autres membres de l'équipe eurent droit au même sort...

Le Lieutenant- Colonel fut pris par les tentacules de la machines, elle lutta mais en vain comme les membres de son équipes, deux tentacules placés sur sa tête….

Siberiane se trouvait sur une base militaire, son ancienne base militaire, elle la reconnut tout de suite.
Qu’est ce que je fou, ici ? Où sont les autres ? C quoi ce bordel ?

Le lieutenant était en tenue de pilotage derrière elle son avion de chasse…
ce chère F-18….tu m’ avais manqué mais pas au point de me retrouvé instantanément ici…

Un homme vient vers elle par derrière, et lui tapa affectueusement l’épaule…elle se retourna surprise…une vielle connaissance. Il commença le dialogue suivant :
-Alors ce briefing ?
-Jack…..Jack Ford….c’ est impossible…tu es mort…
-Ah non, pas du tout voyons, pourquoi tu dis ça ? C’ est pas une facon de saluer son meilleur -ami…..
-Mon meilleur ami est mort….Quel jour on est ??
-le 3 novembre
-C’ est impossible….
-Arrête de répéter tout le temps ca, tu as du faire un cauchemar c’ est tout, te prend pas la tete, tu verrais ta tronche…Je te dis que je suis bien la non ?
Il la serra dans ses bras : Si…...C’est trop réelle pour être vrai….
Relachant son éstreinte :
-Bon on vas bientôt partir c’ est une simple mission de reconnaissance, la routine quoi…
-C’est ce qu’ on disait…
-T’ es sure que tu te sens bien ?
-Non, il faut annuler la mission, tu doit pas partir…

Le regard soucieux, Jack dit :
-Reste a la base ça vaut mieux.
-Non je reste avec toi….
-Dans ce cas allons’ y…

Tous 2 montèrent dans leur F-18 est décollèrent…
Sur la piste Siberiane apercus de Femmes voilé tout en noire comme celle dans les machines….
A quoi on joue ?? je veux pas revivre ça…je veux pas le perdre une fois c’ est assez dure…

En vol :
-Alors Sib, ça va mieux. ??
-Ca va très bien….Ca fessait longtemps que j’ avais pas voler…ça fait du bien…
-Le dernier vole date d’ hier..

Apres quelques minutes de vols des tirs, on canardait l’avion a Siberiane, mais Siberiane savait d’ou sa venait, il fit une manœuvre pour se diriger détruire l’avion ennemie.
Mais l’avion lança un missile et ce fut le M-16 à son ami qui explosa…
Naaaaannnnnnnnnnnnnnnnnnn !!!!!!!!!Tandis que les cris de Siberiane résonnait dans son appareil……… Tout recommença.

Elle était de nouveau devant son appareil…
Elle se retourna et le vit qui arriva tranquillement. Elle balenca son casque et le serra dans ses bras….
J’ ai en marre de le perdre comme si une fois ça ne suffisait pas….
Comment lui faire comprendre ?

-Ecoute moi, ce qu’on vit n’est pas réelle, on effectuait une mission sur P7J-989 et des machines nous refont vivre apparemment les pires moment de notre vie…
-Ah ! Ma compagnie est l’un des pire moment de ta vie, je sais que ton humour est décalé mais là…..
-Tu ne comprends pas ! Tu es mort, c’ est fini…

Elle recula : Il s’ avança mais elle recula encore….

-Tu es bizarre aujourd' hui....On doit partir en mission, c’ est juste une mission de reconnaissance on en a pas pour longtemps tu m’ expliquera après….
-Toujours aussi borné…

D' accord, j' ai pas vraiment le choix, on va essayer de changer les chose mais ca aporterai beaucoup de consequence...

Ils partirent en missions et décollèrent
Sur la piste Siberiane aperçus de Femmes voilé tout en noire comme celle dans les machines….
Encore elles, dans mon souvenir elle n’ y sont pas…

Apres qq minutes, Jack rompa le silence…
-Je sais pas ce qui t’as pris tout a l’ heure mais je suis jamais contre quand une jolie femme m’ enlace…même sans raison…
-Toujours aussi sure de toi, on dirait….même ça sa n’ as pas changer…
-T’ ai-je déjà déçus ??
-Jure moi de ne pas me protéger…
-Jamais je ne ferais ça…
-Aujourd’hui si…stp j’ y tiens !

Avant qu’ il réponde des tirs, toujours ces tirs…

Elle essaie de manœuvre pour couvrir son ami mais les commandes ne répondaient plus ce coup-ci…il se positionne pour la couvrir, elle devrait fuir comme il lui dit mais non…
Ca ne servira a rien…. Tu ne devrais pas me protéger… Elle était en pleur revivre ca, c' etait affreux...

Une explosion….et ça recommence…

Le colonel était decider et ne conprenait pas ce qu' il se passait....
-Ce coup-ci j’arrête, je joue plus…elle s’assit sur son casque décidé a avoir des explications…
Jack vient vers elle : qu’est ce que tu fais ?
-Je ne joue plus, j’arrête
-Qu’ est ce que tu racontes ?
-Toi ou qui que de soit vraiment as bien compris : JE NE JOUE PLUS !!!
Fin de la partie : Game Over…

D’un ton agressif : Tu dois jouer !
Elle se leva :
Jamais tu n’ as pris ce ton avec moi…Nan c’ est fini celui que tu incarne est mort, je refuse de revenir la dessus……….dsl.

Et là…

Un tourbillon. Puis, du noir. Rien que du noir, un beau noir bien sombre. Oh non ! Va t’en lumière ! Ce noir était si beau que je serai resté dedans pendant des heures, immergé à l’intérieur comme dans un fleuve sans remous. Elle ne veut pas partir. En même temps, elle est très faible cette lumière, c’est en réalité une tache de gris. Je devrais peut-être la laisser rester là pour qu’elle se repose un peu afin qu’elle s’envole plus tard vers d’autres horizons, quand elle aura repris des forces.

Mince, il pleut. Je ne sais même pas où je suis mais cette gentille lumière éclaire un peu mon univers. Je suis près d’un arbre, un grand arbre gris. Ses feuilles sont un peu flétries mais cet arbre reste magnifique. J’ai l’impression de l’avoir déjà vu. Je ne sais pas quand, mais je suis déjà venu ici. J’observe l’arbre d’un peu plus près. Deux mains se posent sur l’écorce. A qui sont-elles ? Elles sont reliées à mon corps par des bras, ses mains. Mes mains. Elles sont recouvertes de terre mouillée. C’est quoi le nom déjà ? De la boue. Oui, c’est comme ça que l’on appelle la terre gorgée d’eau. Je vois une tache rouge sur l’arbre et je sens aussi un liquide chaud couler sur mon visage. Je le touche. C’est bien rouge et liquide. Du sang, qui dégouline lentement de mon front.

Je me remets de mes esprits. Je ne me rappelle de rien. Ah ! si, ça me revient. J’étais sur la place du marché. Il faisait presque nuit mais le soleil tardait à se coucher. J’aime beaucoup le marché, ces odeurs, ces choses qui brillent, et même quand ça ne brille pas, c’est très beau à voir. J’aime observer, toucher, caresser ces objets. Maintenant je les connais tous. Ce que je préfère, c’est l’étal du marchand de voitures. Ce qui me fascine, c’est qu’elles roulent, vroum vroum, c’est marrant. Mais quand le marchand me voit, il me fait les gros yeux et je repose vite le jouet. Dès qu’il tourne le dos, je le reprends. Attention ! Je ne vole jamais les voitures ! C’est mal. Ma maman m’a dit de ne jamais voler parce que après il y a un bonhomme avec un bâton et un drôle de chapeau, un képi, qu'elle dit, qui te prend par les cheveux et qui t’emmène dans une pièce avec des barreaux en métal. On ne peut pas sortir. Une prison. Et le monsieur, ma mère m’a dit que c’était un policier.

En tout cas, je ne me suis jamais fait repérer. Mais ce soir là j’en ai vu un. Enfin… Lui il n’avait pas de bâton. Juste un grand manteau de cuir et des bottes noires. J’étais en train de jouer avec une voiture, une belle voiture rouge. Quand j’ai vu que l’homme me regardait, j’ai vite remis la voiture sur l’étal. Il marchait vers moi. J’avais peur. Mais il continuait d’avancer. Je reculais. Après quelques pas, il commença à courir. Alors, je me suis retourné et j’ai couru moi aussi. J’ai de la chance, je connais très bien la ville. C’est elle qui m’a élevé en fait. Mon père n’était jamais là et quand il rentrait à la maison, il ne me parlait jamais. Je pense que c’est parce que mes cheveux sont blancs. C’est bizarre quand même parce que les cheveux des garçons de mon âge sont noirs ou marrons. J’en ai même vu un, un jour, qui avait des cheveux jaunes. Mais personne n’avait l’air surpris le regardant, lui. Ma mère, elle, était toujours en train de faire à manger ou le ménage. Mon père trouvait ça normal et il l’obligeait à faire ces tâches. L’homme continuait sa course. Moi aussi. Je zigzaguais dans les rues en espérant qu’il arrête de me suivre. Mais il était toujours derrière moi. Je courais de plus en plus vite. Il me suivait toujours et en plus il gagnait du terrain. Il allait plus vite que moi ! C’est normal aussi, les grandes personnes ont des jambes beaucoup plus grandes que les petits garçons. En plus il pleuvait. Et comme j’ai les jambes plutôt courtes, je pataugeais dans l’eau comme un chien dans une rivière peu profonde. Je sortais de la ville, continuant ma course. J’allais rejoindre la plage, là où est la maison de mes parents. Je regardais derrière moi puis, tout à coup, du noir.

Je m’étais cogné à un arbre. Voila donc où j’en suis. J’essaie de fuir cet homme. Je regarde autour de moi mais je ne le vois pas. Alors me voilà, assis dans la boue. C’est bizarre mais j’ai l’impression d’avoir déjà vécu ça. Peut-être parce que c’est un cauchemar. C’en serait un, je m’en souviendrais et je saurais comment il se termine. Mais voilà, je n’arrive pas à me rappeler. Mince, revoilà l’homme. Il n’a même pas l’air fatigué. Je dois me lever. Mes jambes ne bougent pas. Enfin si, elles bougent mais c’est parce que je tremble de peur. L’homme marche maintenant. Moi, je ne peux pas. Je dois mobiliser ma volonté. Mon professeur de combat me dit toujours ça : « Quand ton corps ne veut pas faire quelque chose, tu dois te rebeller. Tu dois mobiliser ta volonté, parce que tu as la foi, tu as foi en toi. Si tu sais et que tu persuades ton corps de faire quelque chose, il le fera. C’est ça la vie : une lutte constante entre le corps et l’esprit. ». Mais cette fois, ça ne marche pas. La peur sûrement. L’homme est devant moi maintenant. Il s’agenouille, repousse mes cheveux collés par la pluie avec un doigt et sort un mouchoir. Il essuie le sang qui coule toujours sur mon front. Puis, il range son mouchoir. Il pose sa main sur mon entrejambe. A ce moment là, une fureur m’envahit, une fureur comme je n’en ai jamais éprouvée auparavant. Je prends son bras de mes mains, de mes toutes petites mains, comparées à ce bras énorme et je lui fais une clé, celle que mon professeur préfère. Je retourne son bras et je mets un coup sec sur son coude. J’entends un craquement et un cri. Ce cri me perce les tympans. Une nouvelle certitude dans mon esprit : mon corps est prêt à m’obéir. Sous la pluie toujours battante, je me relève, laisse l’homme là et je cours de nouveau. Derrière moi, je l’entends se relever lui aussi, gémissant de douleur. Ca y est, il court. Pendant quelques minutes, la poursuite se résume à ça : un petit garçon louvoyant entre les arbres et un grand homme trébuchant dans la boue, le tout sous une pluie claquant leurs visages tordus de douleurs. Je cours toujours mais j’entends aussi les pas rapides et lourds de l’homme derrière moi, qui se rapproche. J’ai l’impression de sentir son souffle rauque sur mon cou. Je cours plus vite, fonçant droit devant moi. J’arrive à la falaise. Ma mère m’a toujours dit de ne jamais y aller parce que je pourrais tomber. J’arrive tout en haut, au bord du vide. Je ne vois plus l’homme. Je tombe sur le sol. Je crois voir des étoiles, tellement je suis épuisé. Puis, une botte au loin. Tournant mon visage collé à la boue, je vois l’inconnu à quelques dizaines de mètres de là. Je me relève d’un bond. Parfait, mon corps m’obéit.

*Tu ne m’auras pas. Personne ne m’aura jamais parce que si tu t’approches, je saute dans le vide.*

Je regarde en bas. Environ vingt mètres sous mes pieds, la mer tente d’écraser les rochers sous ses vagues houleuses. Elle sait bien qu’elle n’y arrivera jamais, pourtant, elle s’obstine.

*Elle est aussi têtue que moi. Elle veut vaincre mais elle sait qu’elle n’y arrivera pas. Mais je ne suis pas comme cette mer. Moi, je vaincrais. Si tu avances, l’inconnu, je saute.*

Il continue à avancer. Lentement. Je recule. Mes talons sont dans le vide et j’entends de petits cailloux rouler contre la falaise. Il continue à avancer. Il est tout près maintenant. Il tend la main pour attraper ma chemise mais à ce moment là…

HRP : idem pour moi....pour ceux qui ont tout lu ...

Siberiane plongea dans un tourbillon noire a l' instant ou elle allait s' assoeir sur son casque toujours en tenus de pilote elle se retrouva sur une colline ....

C' est quoi encore ce bordel ?

Elle vu Phoenix et l' homme, rapidement elle posa l' homme avec son pied ( ca sert la kareté, on dirait...avec qu' il ne fasse quoi que se soit, Phoenix etait toujours au bord de la falaise...

Phoenix ce qu' on vit n' est pas réelle, rapellez vous la base, Hammond, la planete, les machines et les Femmes....ce qu' on vit n' est pas la réalit", il faut revenir...

AlpiN connaissait cet endroit.

C'était sa chambre. Il y avait bien sa parure de lit , aux couleurs du dernier dessin animé à la mode. A droite, près de la fenêtre qui donne sur la montagne son étagère, pleine de jouets et de maquettes.

Le papier peind uni rend la chambre très lumineuse. Aujourd"hui il y a un grand soleil dehors. Après le déjeuner, Il va aller jouer avec ses copains et faire de la luge. Ils ont prévus une grande course dans le champ du voisin. En plus il a neigé la veille. Une belle neige blanche, bien légère et poudreuse.

Alors qu'il enfile sa combinaison, il entend la voix de sa mère à l'étage, elle discute bruyemment avec son père.

_Chéri! Viens Voir qu'est ce que c'est sur la montagne. On dirait un nuage?
_C'est une avalanche, une gigantesque avalanche! Abritez vous!

AlpiN entendit les cris effrayés de son père mais ne put s'empecher de regarder par la fenêtre. Sur le flanc du pic auquel était adossé le village, une gigantesque avalanche de poudreuse, véritable vague de neige, de plusieurs dizaines de mètres de haut allait bientot s'écraser sur le village.

Tétanisé, il n'osait plus bouger. Au bout de quelques secondes il se jeta dans le placard.

Le grondement se rapproche, les chalets aux alentours craquent, puis la vague de neige arrive sur celui de la famille GoodMan







Il fait noir. AlpiN est effrayé. Il s'est réveillé il y a longtemps, mais tout est noir. Mais le plus stressant c'est le silence. Il n'y a pas un bruit. Il a pleuré et crié longtemps, mais personne ne l'a entendu. Quand il a voulu ouvrir la porte du placard, elle lui est tombé dessus, poussée par la neige.



Il fait froid et AlpiN a très faim. Il s'est encore endormi, longtemps , mais rien n'a changé il croyait que c'était un cauchemard.



AlpiN ne peut plus bouger. La neige a pénétré encore plus dans le placard. Il n'a plus aucune place. Il a l'impression d'entendre des cris..




Il ne dort pas , il a trop mal au ventre pour ça . Il y a longtemps il a trouvé un paquet de gateaux qu'il avait caché dans le placard. Mais il a tout mangé. Il entend à nouveau des voix.


Cette fois il en est sur. Quelqu'un parle. Des bruits métalliques lui parviennent tout autour de son abri.

_Ici, le chien a repéré quelqu'un.

C'est alors qu'au bout d'un certain temps, une lumière blanche illumine le placard. ça fait mal aux yeux, AlpiN les ferme. Des mains le prennent et le tirent.

Tout le monde parle, il y a trop de bruit , AlpiN n'entend plus rien . Il se met à crier Papa! Maman!

Ouvrant les yeux il regarde le village. De partout, des centaines de sauveteurs découvrent ce qu'il reste des chalets en bois, enterrés sous des dizaines de mètres de neige.
Il aperçoit son père que l'on extrait des décombres. A quelques mètres, le corps de sa mère étendue, blanche comme si elle dormait.

Elle lui avait parlé de la mort. AlpiN comprend qu'elle a emporté Maman. Et il se mit à pleurer.

Il ouvre à nouveau les yeux.

AlpiN connaissait cet endroit.

C'était sa chambre. Il y avait bien sa parure de lit , aux couleurs du dernier dessin animé à la mode. A droite, près de la fenêtre qui donne sur la montagne son étagère, pleine de jouets et de maquettes...

Phoenix était toujours immergé dans son cauchemar. L'homme était tombé de la falaise sous la poussée d'une femme en habit militaire. Il avait déjà vu son visage. Puis, tout lui revint. Il se rappela le projet de la Porte des Etoiles, le SGC, tout. Et à ce moment là...

A ce moment la, il recut une seccouce de la part de son Lieutenant-Colonel....

C' est un chauchemard, faut revenir a la réalité...Oh oh !!

Phoenix secoua la tête.

Oui oui je sais j'ai compris. C'est juste que... tout avait l'air si... réél !

Melian se réveilla. Et elle se sentit bien, mieux qu'elle ne s'était senti depuis au moins ses 10 dernières années. Elle se sentait chez elle, à l'abri.

Elle comprit d'où venait cette impression quand elle ouvrit les yeux. Le soleil traversait les lourds rideaux rouges de sa chambre aux murs pêches.

Ma chambre d'enfant.. Mon dieu, je n'y avait pas dormi depuis.. depuis la mort de Papa..

Toc toc
Entez !

Un homme entra dans la chambre. Il avait à peine la quarantaine et était habillé d'un costume noir.

Melian ne put retenir un cri. "Papa"

- Ey, ma puce, ça va, qu'est ce qui se passe ? Tu as fait un cauchemar ?

Tout s'embrouille dans ma tête..je ne me souviens même plus de ce à quoi j'ai rêvé. J'ai une impression étrange. Comme si je devais me souvenir de quelque chose mais quoi ? J'ai un étrange pressentiment, comme si je devais empecher quelque chose.

- Non, ça va Papa. Dis, tu restes avec moi aujourd'hui ? Il faut qu'on aille dans le magasin qu'on a vu hier !!

S'il te plait Papa, dis oui, je sais qu'il faut que tu dises oui

Non ma puce, pas aujourd'hui, je dois aller faire mon discours contre les armes nucléaires. En plus j'ai un auditoire difficile à convaincre, je n'ai pas le temps de m'amuser, j'ai déjà assez à faire avec tout ceux qui se battent contre moi !

Alllleez Papa je t'en prie s'il te plait

Melian était sortit du lit et s'était accrochée à son père dans l'espoir de l'empecher de partir. Mais celui ci était musclé, d'un geste il l'a détaché et l'a remis dans son lit.

ça suffit! J'ai dit non c'est tout !

Melian eut à peine le temps d'enfiler un pyjama pour suivre son père que celui-ci passa la porte de la maison. Elle se précipita dans les escaliers et ouvrit la porte à toute volée

NONN PAPPAAA NOOONNN

Mais c'était trop tard. Devant ses yeux innocents, la voiture de son père venait d'exploser. Une bombe qui ne se déclanchait que quand on mettait le moteur en marche.. c'était le risque de vouloir exprimer librement ses idées.

La scène se rejoua, plusieurs fois, jusqu'à ce que Melian n'en puisse plus, recroquevillée sur le trottoir, elle pleurait, la tête dans ses bras.

Reste Papa.. reste...

Phoenix subit comme une sorte de malaise. Il dit à Siberiane :

Je peux sentir les autres personnes à l'intérieur de ces machines... Je crois sentir...

Et il disparut subitement. Il était dans une maison. Il voyait une jeune femme s'accrocher à son père dans une chambre d'enfant. A l'évidence, elle voulait l'empêcher de partir. Cette jeune femme, c'était Melian. L'homme sortit. Il grimpa dans la voiture. Melian sortait devant la maison mais la voiture explosait. Phoenix était horrifié. Il comprit. Son "cauchemar", c'était de voir la mort de cet homme. Il attrapa Melian et lui dit :

Ecoute moi, ce que tu vois n'est pas réél. Rappelle toi, le projet Porte des Etoiles, le SGC, la bouffe dégueulasse du réfectoire, rappelle toi !

Melian pleurait encore lorsqu'elle entendit la voix d'une personne.. on lui parlait ..une voix connue

Ec....mo............ réél. ...pelle toi..................... Etoiles, ..................;ueulasse .. réfectoire, .........toi !

Mais son cauchemar l'avait emené loin, au délà des barrières de son esprit là où résidait ses peurs primales et cet appel lui parvenait à peine. Pourtant ses amis devaient faire vite avant que ses barrières ne cèdent et qu'elle ne perdent la raison à jamais.

Merde j'ai l'impression qu'elle ne me comprend pas... Comment faire... Je vais lui montrer quelque chose qui lui rappellera sa mission ! On va voir si ça marche.

Phoenix arracha l'écusson marqué SG-1 sur son épaule et prit le Zat qui était accroché à sa hanche. Il les posa sur le sol et força Melian à s'assoir. Le capitaine prit les mains de Melian et les éloigna de son visage baigné de larmes. Ensuite, il prit l'écusson et le Zat chacun dans une main et les mit devant son visage en disant :

Rappelle-toi !

Mais Melian était toujours perdue dans son esprit et n'entendait rien, elle restait sourdes aux tentatives de phoenix

Alpin, il se passe quelque jour avec Alpin....faut que j' y aille...

Siberiane ferma les yeux, elle se concentra pensa tres fort a Alpin...un tourbillon elle se trouva dans une chabre d' enfant, la chambre a Alpin....

Alpin, Alpin ??

Elle vu Alpin acroupi a sa fentre, elle s' aprocha se mit en face de lui et lui parla :
Alpin, ce n' est pas réelle, rapeller vous, le sg-c la Porte des Etoiles, la mission, tout ca est faux il faut revenir !!!

On dirait qu' il ne m' entend pas, il ne me comprend pas....

Ce n' est pas réelle c' est un cauchemard !

Il ne me repond pas, ne parle pas, il se retourne et regarde la montagne sa montagne...il prefere la montagne au sg-c on dirait, je n' arrive pas a le convaincre.....je lui parle d' Hammond, Serval, Conan, les autres....rien y fais je n' arrive... l' avalanche tombe !! Je me sens partir un lumiere blanche......tres lumineuse la lumiere...je me sens partir qu' elle sentiment etrange.je suis nul et partout a la fois...

Agrh !

C' était la lumiere du Soleil je suis reveiller, je prend mon arme je la quitte pas Phoenix est la il parle a Melian...

Ca marche toujours pas... Elle est obnubilée par son souvenir. Si j'arrive à lui montrer un souvenir, un endroit qu'elle connait, je pense qu'elle pourra le voir, comme elle a pu voir ce souvenir. Je vasi me faire engueuler par le colonel j'ai bousillé mon uniforme...

Il rengea son Zat, mit son écusson dans sa poche. Il prit les mains de Melian qui pleurait toujours. Il ferma les yeux et tenta de revenir dans ses propres souvenirs. La maison disparut dans un tourbillon. Un arbre, la pluie. Un homme qui avance vers moi. Non cette fois je le sais, ce n'est pas réél. Je ne bouge pas, il approche. D'un doigt, il repousse mes cheveux blancs, collés par la pluie. Puis, d'un mouvement vif, j'attrape son bras et le casse d'un coup, au niveau du coude. Je me relève et lui assène un coup de pied en plein dans le nez. Il tombe sur le sol, inanimé.

Voila qui est mieux.

Il voit Melian, qui pleure déjà moins. Il revient vers elle et lui reprend les mains.

L'atmosphère n'est pas très agréable. On va changer ça. Fermons les yeux. Voila c'est bien. Bon alors maintenant, je sais que la machine me porte aussitôt vers mon souvenir le plus triste. Je vais tromper la machine en trouvant un souvenir joyeux de la base et lui faire croire que je n'aime pas ce souvenir. Que j'en ai peur. J'ai peur du monde. J'en ai horreur. Je n'aime pas la solitude du refectoire du SGC je ne peux pas le supporter... Je n'aime pas...

Un nouveau tourbillon. L'arbre, le sang, l'homme à terre, tout disparaît. Le réfectoire apparaît. Phoenix et Melian, cette fois, sont assis à la table du fond. Phoenix se lui lâche pas les mains. Il dit simplement :

C'est de ça dont tu dois te rappeler.

Où... où suis-je ? Que.. que fais-je ici..? Où est papa ?

Melian était encore sous le choc mais elles reprennait peu à peu ses esprits